C’est quand le jour s’achève
Quand la lueur faiblit
Qu’évadé dans des rêves
L’Amour emplit la nuit
Les paupières s’éteignent
Sur un monde magique
Où les songes s’imprègnent
D’illusions féeriques
Dans la brume du soir
Les souvenirs renaissent
Illuminant le noir
D’une secrète ivresse
Les rêveries intimes
Se changent en prières
Comme un appel ultime
Que rien ne pourrait taire
Ces instants éternels
Que l’on revit cent fois
Des passions virtuelles
Qu’en vrai l’on ne fait pas
Les yeux tout embués
Des dernières chimères
La ville va s’éveiller
Loin de l’imaginaire
Moi… je me remémore
Le rêve que j’ai fait
Je le revois encore
Ce rêve où tu m’aimais…